Alex B., ambulancier, nous parle de son métier chez Charly’s Company

Cela fait-il longtemps que tu exerces ce métier ?

J’exerce ce métier depuis le 04 février 2020 ; l’intitulé exact du poste que j’occupe est « chauffeur / ambulancier ». A la base, nous n’assurions que du transport de personnes à mobilité réduite (TPMR). Par la suite, nous avons fait l’acquisition d’ambulances non-urgentes (ATNUP)

Qu’est-ce qui t’a amené à exercer ce métier ?

Ce qui m’a amené à exercer ce métier, c’est l’envie d’une reconversion (totale) professionnelle et l’envie de me rendre utile, d’être au plus près des gens, à leur service. Auparavant, j’ai occupé divers postes dans le domaine de la vente auprès de grosses sociétés (horeca, distribution, etc) mais je ne m’y épanouissais pas vraiment…

Quelle formation as-tu suivi ?

J’ai suivi une formation en tant qu’ambulancier en transport non-urgent de patients (ATNUP) dans une école à Pont-à-Celles. Afin de pouvoir travailler en tant qu’ambulancier, cela demande à suivre une formation de recyclage annuellement.

Qu’est-ce qui te plait dans ce métier ?

Ce qui me plait dans ce métier est d’être au plus près des gens, de pouvoir les aider et les accompagner dans leurs transports médicaux, essentiellement.

Quelles sont les valeurs humaines qui priment dans ce métier ?

Les valeurs qui me tiennent le plus à cœur et que je retrouve dans ce métier sont : le respect, l’entraide, l’accompagnement, la communication, l’empathie, la sécurité, le professionnalisme.

Quelles sont les difficultés rencontrées au quotidien ?

Les difficultés rencontrées résident essentiellement, me concernant, dans la charge de travail certains jours. En effet, il est primordial pour moi de pouvoir assurer le suivi d’une prise en charge de A à Z d’un patient mais il n’est malheureusement pas toujours possible de le faire selon la charge de travail au quotidien. Néanmoins, faisant partie intégralement du service que nous fournissons aux gens ; nous nous occupons d’amener un patient à son lieu de consultation ou d’hospitalisation, nous l’inscrivons ensuite et le déposons dans le service ad hoc et, par la suite, nous nous assurons d’être avertis lorsque le patient a terminé, dans le cas contraire où nous ne pouvions rester avec lui.

Aurais-tu une anecdote particulière à raconter ?

Je n’ai pas vraiment d’anecdote à relater car, pour moi, chacune de mes prises en charge est unique, différente, épanouissante, intéressante…

Si tu devais recommencer, le ferais-tu ?

Si cette opportunité professionnelle devait se reproduire, je m’y (re)lancerais sans même hésiter !